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LA NOUVELLE ANARCHIE

13 novembre 2012

NO COMMENT...

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11 novembre 2012

LE 21è SIECLE SERA CELUI DE LA GRANDE PEUR ET D'UNE SOCIETE PARANOÏAQUE JUSQU'AU SUICIDE.

 

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Vous savez quand même, je l'espère, ce qu'ils vous enfoncent dans le crâne, chaque jour, en forçant la tendance télévisuelle à multiplier les reportages bidons sur de soi-disantes opérations policières ? Vous savez, n'est-ce pas ?

Peu à peu et mine de rien, on vous habitue à la construction d'un monde en liberté surveillée. Ah, vous l'aimez votre Walls, votre super héros d'une production Marvel "New Order" dont il est l'un des auteurs répétitifs. Tout y passe. Drogues, deals, terrorisme, Islam, vols, braquages, escroqueries, prostitution, pédophilie, viols, toutes les formes de perversions sexuels et surtout sociales : chômage, crise, euro, compétitivité, flexibilité, fraudes des pauvres, coût du travail, culpabilité et j'en laisse... 

Désolé de vous contredire M. Malraux, le vingt et unième siècle ne sera pas spirituel, mais celui de la LA GRANDE PEUR injectée en perfusion dans ses veines ! 

Mais au fond, peut-être vouliez-vous dire la même chose. Il existe en religion le même clivage qu'en politique laïque. D'un côté la démocratie avec les polythéistes qui, eux, acceptent volontiers les dieux des autres, les prient parfois même ; de l'autre la dictature des monothéistes prêts à s'égorger pour leur dieu unique et niant jusqu'à l'éradiquer tout adepte d'une autre déité. Ceci est inhérent aux trois dictatures de dieu et à leurs livres guerriers : la bible, la Thora et le Coran. Les politiques s'en inspirent chaque jour. 

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Plutôt l'autocratie des "élus" qu'une démocratie directe émancipant notre vie ! Plutôt dieu qu'un peuple libre et adulte, sans superstitions et autres croyances impubères. Plutôt Hitler que le Front Populaire... Plutôt un peuple soumis qu'une communauté responsable, etc...

Vous le savez, n'est-ce pas ? On vous intoxique ! On vous conduit dans le labyrinthe qui mène à l'abattoir de la liberté et de vous-mêmes ? 

A les en croire, nous sommes les habitants d'une Sodome dont nous sommes les uniques responsables... à revendiquer tant et tant cette putain de liberté ! Mais surtout pas, que nenni, leur pensée dominatrice multipliant les interdits, les frustrations, les désirs humiliés, les dépossessions, les renoncements et cette investigation, cette perquisition mortifère dans tous les recoins de notre existence. Jamais ils n'avoueraient, oh grand jamais, qu'ils sont les virus d'une société malade, qu'ils ont méticuleusement gangrenée. Qu'ils sont dominés par leur propre Pouvoir qui a muté leurs synapses. Leurs influx nerveux ne transmet plus que la fièvre de l'or, déjà comme au bon vieux temps du western. L'or et le pouvoir. Ce sont des infirmes, des malsains, des détraqués sous le règne de la possession. Ils se sont perdus de vue ainsi que de l'humanité. Ils sont possédés. 

Ne vous restent que les fleurs maladives de votre cervelle inculte et perdue qui les cautionnent gloutonnement ! Nous sommes passés à plus de 70% de starification du malfaisant Walls !... Ça donne le nauséeux vertige, non ?

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Ils se substituent donc à leur dieu qui lança sur la cité maudite ses éclairs destructeurs et balancent à la place des nuages de flics assermentés à leur esprit mégalomane dont vous faites partie. Voilà comment l'on passe doucement d'une pseudo-démocratie à un Etat foutrement policier ! Mais l'essentiel à savoir, c'est que tout flic sait que les gouvernements changent mais que la police reste.

Dîtes, vous n'avez pas le sentiment d'être menés en bateau par un stupide et lamentable réalisateur de film d'épouvante ?...

Tant qu'ils considérerons le Peuple comme un idiot couard , et que vous laisserez faire en continuerez de l'être, il restera inculte, abruti et donc, retour à ses racines, stupidement méchant... les moutons de la rue pourront continuer de brouter leur solitude manufacturée, paranoïaque et castratrice ! Et l'oligarchie de prospérer...

Mais sans doute faut-il que vous descendiez encore quelques marches de misère pour enfin réagir et vous informer réellement ?... Vous avez tellement oublié le bon goût de la solidarité.

Vite, vous disent-ils ! Allez travailler ! Tant que vous le pouvez... Ne croisez pas d'autres regards ! Ne parlez à personne, ne vous confiez pas, ce pourrait être un ennemi ! 

A force de matraquage - et ce n'est pas du figuré - l'archétype du flic est devenu l'élément incontournable, le sauveur, le protecteur inespéré !...   LA SECURITE. Car, c'est évident, vous ne pouvez plus flâner dans nos rues, vous êtes accrochés à vos sacs-à-main, vos sacs-à-dos, vos sacrées frousses ! Accrochés à vos strings comme à vos derniers "privilèges" de pauvres ! Prêts à vous abriter derrière le premier uniforme qui ne passe pas... On ne peut même plus vous demander un renseignement dans la rue ! Encore moins vous sourire ! Et tout cela conforté par des bataillons de séries télés à la con collectionnant tous les personnages les plus tarés de la création ! Superbe ambiance sociétale.

 Nous allons à l'abîme.

CAMARADES !

 Mais à quoi peut donc servir de connaître l'avenir, si nous sommes séparés et dans l'impossibilité de le transformer ?* 

 Si vous ne faîtes aucun effort d'introspection, si vous ne secouez pas  votre humaine conscience, déjà, pour commencer !

Je sais que vous êtes égoïstes et peureux, mais de toutes façons, vous faîtes partie de la prochaine charrette ! 

Je ne vous demande pas d'être des téméraires, mais juste de retrouver votre dignité de femme et d'homme et d'enfant ! Votre honneur d'humains, bordel ! Pour une fois, levez-vous et dîtes NON ! Là où vous êtes, à cette minute, à votre endroit. Ah, si je pouvais m'immiscer dans chaque oreille...

 Tiens, mais qu’ai-je trop égratigné que cela suinte mauvais ? ! Bon, je dirais que c’est plutôt rassurant. 

J’aime mes ennemis. Ils me rappellent qui et où je suis exactement...

 

* Pourtant nous savions que le p"s" et son Molland allait poursuivre la politique libérale de son prédécesseur, par cupidité de caste, par paresse et par manque d'imagination réunis : tscg, règle d'or, compétitivité, et surtout sauvetage du capitalisme, etc... Ce n'est pas faute de vous l'avoir répété et discutaillé ! Qu'il allait renoncer, reculer, trahir, manipuler. Tant et si bien que droite et extrême-droite reviendront triomphants et libérateurs en 2017. Le p"s" aura tellement écœuré la population de ses lâchetés et trahisons, ses déloyautés, ses hypocrisies, ses forfaitures et ses félonies ! Nous le connaissons ce futur proche. Qu'allez vous en faire de ce savoir ?...

 

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7 novembre 2012

JE SAIS POURQUOI ILS REFUSENT DE TOUS LEURS FERS LE MARIAGE HOMOSEXUEL ET LA LIBERTE D'ADOPTION.

 

Je sais pourquoi tous les réactionnaires, 

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Je sais pourquoi tous les porteurs d'un dieu en pin's, 

Je sais pourquoi tous ceux qui ont concouru à la dégénérescence de cette humanité 

dont ils sont les piliers nauséabonds, 

je sais pourquoi ils refusent, de tous leurs fers, le mariage homosexuel et la liberté d'adoption. 

L'adoption surtout... 

En effet, ce sera à long terme, une formidable transformation de société. Tous les homosexuel(le)s honteu(ses)x, refoulé(e)s, en geôle dans leur corps et leur esprit, peu à peu, vont enfin s'ouvrir à leur véritable existence, peu à peu... 

De plus en plus d'enfants ne seront plus élevés dans ces parfums machistes toujours en vigueur : la petite fille à ses poupées, à son ménage et à la couture ; le petit garçon à son garage, son flingue et ses gants de boxe. 

Ces enfants neufs, nettoyés de toute cette crasse, seront-ils les procréateurs enfin d'une autre communauté humaine ?  Déconditionnée, vierge, fraîche, "résolument moderne", innocente, inimaginée, audacieuse et printanière.

Peut-être était-ce la clé qui ouvrira notre prison ?

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5 novembre 2012

NOTRE-TRISTE-DAME-DES-LANDES ET M. HESSEL "SOCIALISTE" CONVAINCU.

M. Hessel, j'admire votre non-violence, mais je ne peux la partager.        Vous avez le temps - le toit et le couvert - de parler les yeux fermés aux oppresseurs misérablement "socialistes", ce sont vos amis, vos protégés, votre vision d'avenir... La population de la zad, non. Vos amis, vos compères, vos sectateurs ont détruit leurs maisons, passé leurs pelleteuses sur l'idéal d'existence d'une jeunesse saine et inventive - bien éloigné évidement de leurs surproductions destructrices, de leur modernité déhumanisante - gaché l'environnement avec leurs bombes et leurs bottes crottées et humilié tout ce qu'ils pouvaient humilier... Vos acolytes  matraquent, ils gazent, ils flashballent, ils tazent, ils ont les crânes rasés vos jolis crs... Ils font bloc, identitaire sans aucun doute. Non, vos amis "socialistes" - comment peuvent-ils l'être encore ! - sont des envahisseurs et, d'une manière ou d'une autre, nous les chasserons ! Par la loi ou par le sang.

 

28 octobre 2012

VOUS N'ÊTES PLUS LA GAUCHE ! CAPITO ?

   

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    La droite, la malsaine, la chafouine, avait presque réussi à ringardiser la juste et nécessaire révolte, ridiculiser la moindre volonté d'insoumission, d'insurrection, face aux injustices de leur gouvernance corrompue et prostituée.

   Pour ces êtres de droite, atlantistes baveux, l'anglicisme est en renfort. Mais t'es "has been"... Tu connais pas T.I.N.A. ! Oh l'autre, il connait pas T.I.N.A. ! Y connait pas tas d'chair ! Ça n'existe plus la lutte des classes, puisque c'est nous qui l'avons gagnée ! De nos jours nouveaux, soit t'es un "looser", soit t'es un "winner" ! Il n'y a pas d'entre deux... 

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   Tout doucement adoncque, comme la chanson, depuis des décennies, la droite dispense ses doucereux venins. Oublie donc les autres... ne pense qu'à toi... le but de l'existence, c'est de pouvoir se l'offrir... une belle existence sans limite de frais... riche, riche... si riche... N'est-ce pas la première des lois que la sélection naturelle ? Les plus forts mangent les plus faibles... De quoi se plaint-on ! Nous suivons sang à sang ce principe écologique, n'est-il pas ?... 

   Petit à petit, une grande partie de la population française, déjà égoïste et sans hospitalité, contamina le reste dans cette guerre sans bataille. Il y eut une tombée de bras national, les visages s'assombrir, s'épièrent en coin... La dépression n'est pas qu'économique, elle circule dans les métros des villes, les yeux baissés, les épaules basses. Tant et si bien que ce bon peuple de France criminalisa les victimes du pouvoir, ressassant stupidement les mensonges réactionnaires. Vous vous rendez compte, il y a des fraudeurs dans ces marchés de dupes ! Et puis les étrangers, les arabes je veux dire, hé bien dis-le, ils mangent le pain des français !... Peuple lamentable, servile, inculte et sans mémoire ! Vous voyez, ça fait un bout de temps, et bien avant Fernand Raynaud que ces petits français me soulève le cœur et les armes ! 

   

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   Bien heureusement, en dehors de toute attente, une gifle inespérée de jeunesse provoqua en duel ce déplorable état. Et gagna ! Une force insoupçonnée, jusque là silencieuse, presque désengagée. Une énergie qui se nomma Front de Gauche. Bien sûr d'abord organisé par de plus ou moins vieux partis... mais la magie opéra, celle du verbe en l'occurrence. Vous pouvez toujours pourrir ce bon vieux Mélenchon, les cons patentés, mais sans son aura, Sarkosy se faisait réélire ! Quoi ? Le PC aurait fait ses deux/trois pour cent, les écolos idem ! Et puis c'est tout ! La populace étant toujours du côté du plus fort. La démocrasseuse...

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Mélenchon a su re/politiser la jeunesse en la poétisant, en la faisant naître à la justice et à l'enrichissement du combat. En lui rappelant les langues encore vivantes de nos anciens, en sortant des livres d'école menteurs notre véritable histoire, celle qui éclaira... pas longtemps... parfois... le monde entier ! Un temps fort éloigné du nôtre qui n'est plus que sous-France, une france sans majuscule, sans majesté, agenouillée, fille bâtarde de la phynance, salope suçant goulûment les clés des coffres bancaires, une petite pute aux prétentions impérialistes et colonialistes.  

Mais si la droite avait presque réussi son crime contre l'élan vital de la lutte politique et s'était finalement empalée sur sa propre vilénie, le ps fraîchement au pouvoir a sans conteste, en seulement cinq mois, tourné en ridicule, bafouée, dégradée, l'idée  intrinsèque de gauche. Qui peut vertueusement se lever et affirmer que ce parti libéral, malgré ses ronds de jambes variqueuses, soit de gauche ? A part cette peuplade ignorante et barbare ?

Alors, j'ai deux souhaits : 

- Que l'on cesse de parler de nous comme une extrême, alors que nous sommes juste les représentants de la Gauche, celle qui tape sur la table, celle qui ne fuit pas, ne triche pas, ne salit pas, celle qui place son corps devant les opprimés, celle qui ne redoute pas les combats pour l'égalité, celle qui partage son repas, celle qui donne son sang sans calcul, juste pour la beauté de la vie, cette vie que nous sommes condamnés à vivre ensemble.

- Que le parti dit "socialiste" se renomme. Il a perdu sa légitimité et le droit de revendiquer cette appellation contrôlée. Sa duplicité, ses tromperies nous entachent. La gauche vendue, dénaturée par ce parti, risque fort d'être balayé par les fascistes en 2017. Changez de nom, Bordel ! Ayez au moins cette pudeur. 

VOUS N'ÊTES PLUS LA GAUCHE ! CAPITO ?

Qu'en 2017, le bétail électoral vote vraiment à GAUCHE ! Et non, comme il a pu la faire en mai 2012 pour un camouflage frelaté.

Nous sommes les socialistes ! Nous sommes la Gauche ! Nous sommes le Front de Gauche ! A nos coups de boule, les Amis ! Et que l'ex-ps, l'usurpateur, le félon, retourne moisir avec la droite dans leur tout-à-l'égout politique !

 

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28 octobre 2012

NON, LE PARTI SOCIAL LIBERAL NE S'EFFILOCHE PAS !

Ce cher Gérard reste un touffu mystère... Lorsqu'on l'écoute, on ferme les yeux, et on entend presque mot pour mot, un discours de JL Mélenchon. Et il a l'air sincère le bougre ! Cela dit beaucoup plus que ses collègues socialooses et leurs clapotis de mains condescendantes. Surprenez les quelques plans d'un public qui fait la pause avec son clown de service, ah ça détend ! Mais bon, ça y est, on va reprendre notre sérieux, dépêche-toi Gégé, t'es trop long... 
Evidement, un sacré mystère ! C'est légitime, on s'interroge. Mais qu'est-ce qu'il fout encore là, dans ce parti à l'opposé de la politique qu'il semble désirer ??? Pourtant il nous aura tout fait : "voter utile", il n'y a qu'une seule gauche, c'est le ps, rassemblons-nous sous la bannière Mollande, etc, et toutes ces sortes de conneries !
Et le voilà qu'il continue ! Ça fait dix piges qu'il nous bassine à vouloir soi-disant tirer le ps à gauche ! Mais tu vois pas qu'ils se foutent de ta tronche ? Tu es leur faire valoir de gauche ! On sort ta marionnette quand on a besoin de se justifier sur sa droitisation... D'autres on essayé avant toi ! Rien à faire, les rouages sont grippés, leur train s'est gouré d'aiguillage et fais du sur place sur la voie de garage ! Choisis ton camps camarade, une bonne fois pour toute ! Sinon, j'ai bien peur que les jeunes qui ne te connaissent pas te prennent pour ce que tu sembles être : une couverture chauffante et un traître manipulateur. Au mieux un guignol ! Bonne conversion, l'ami...
27 octobre 2012

TOUT EST CONÇU POUR NOUS ACCROCHER POUR QUE NOUS SOYONS PERFORMANTS ET ON CASSE DU LANCE ARMSTRONG !

Oh, ça va avec Lance Armstrong ! 

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Suffit les chiens gueulards du pouvoir ! Vous vous moquez ! Dopage, dopage ! Oh, le tricheur ! 

Et ben voilà, l'idole que nous avions érigé, nous la cassons ! 

Nous l'avions élevé ce monument car nous en voulons toujours plus, toujours plus loin, toujours plus fort. Tout pour l'ultime performance, l'excellence expéditive. Et la bureaucratie sportive qui réclame son dû, qui veut toujours plus de fric, toujours plus d'audience, toujours plus de records mués en dollars. Il y a tant d'intérêts pour le tour de France... Et voilà que vous nous sortez votre morale à deux balles ! Vous êtes moral soudain ? Oh, il a pris de la drogue ! Comme si je me faisais un shoot d'EPO et que hop je te grimpe les Pyrénées sur une jambe ? 

Morale ou pas, dope ou pas, Lance est un sacré lascar, une force de la nature. Son cancer, c'est avec de la drogue qu'il l'a vaincu, tu crois ? Ou avec un mental et un corps de tank ? 

Bref, on s'offusque, on s'astique l'éthique alors que tout est conçu pour nous accrocher. Et loin d'être des drogues pour améliorer nos performances, elles ont juste vocation à nous rendre dépendant. On nous accoutume à une certaine alimentation avec la formule chimique du reviens-y qu'il faut, une nouvelle et inutile application technologique, une cigarette électronique, un slip dont le kangourou a pris le large depuis longtemps. Une presse qui nous défonce à la sous-information, aux omissions, aux détournements, aux manipulations, une presse vaseline. 

Et vous nous racontez que Lance est un tricheur, un menteur ?... Et J.M. Ayrault, c'est du poulet ! Ah oui tiens, c'est celui qui veut graver son nom dans la postérité du béton ? En assiégeant, comme avec une armée, une contrée écologique que des citoyens responsables négocient avec la nature. Tu lâches tes guerriers pour y chier un nouvel et inutile aéroport à Notre-Dame-des-Landes. Mais souviens-toi Ayrault, souviens-toi de ces fleurs qui poussent à travers les murs ou des fissures dans l'asphalte... Le béton ne fait pas le poids devant la puissance de la terre. Ayrault nous nous rappellerons que tu as envoyé la guerre à Nantes, que tu as expulsé, exproprié aux ordres de VINCI... 

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Lance, tricheur !

Et Papandréou ! Et que je te vend mon peuple et mon pays !  Président de l'internationale socialiste ! Le voilà, imaginez un peu, professeur d'économie à Harvard ! Avec plus de 40000 € mensuel ! Vous voyez bien que les mensonges, la délation et la traîtrise payent, et paye très bien même...

Lance, salaud !

Et ce vieux grigou de Pasqua ! Le procureur de la "république" vient de requérir contre le parrain du S.A.C. Roulements de tambour.... Requérir contre divers détournements de biens public, c'est à dire votre pognon. Combien ? Je n'ai pas bien entendu ? Deux ans...avec...sursis ?... 

Lance, voleur !

Tiens, un nouveau tremblement de terre en Savoie... Ça fait deux en un mois... Il n'est pas nécessaire d'être devin pour imaginer d'ici peu une horreur nucléaire... Les forces telluriques semblent elles-z-aussi ne pas apprécier le comportement humain.

Lance, c'est de ta faute !

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16 octobre 2012

90.000 cris dans la rue, et après ?...

        ‎"Pour en finir avec une survie de plus en plus insupportable, il s'agit maintenant de refaire un monde sans le monde des affaires, de reprendre le pouvoir sur nos conditions d'existence et construire ensemble par une démocratie directe à taille humaine avec des mandataires révocables, l'autogestion généralisée de la vie par tous et partout...

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     J'écris comme le poulpe expulse ses encres à la face de ses agresseurs. C'est une écriture de combat. Pas de salon. Je n'ai pas d'histoire à vous raconter. Pas d'intrigue que cette vie intrigante qu'il faut décrypter. 

90.000 personnes marchant dans le sens du refus. A la place de la Nation, toute les manif's poussent le rocher avec Sisyphe... Les mêmes slogans, les mêmes désirs, depuis des siècles. Des siècles épuisants à revendiquer sans cesse. Des siècles qui épuisent les populations dont le nombre des soumis s'aggrave, pressions après pressions, persuadé que c'est l'ordre des choses, que l'on n'y peut rien, fatalitas épousant Tina, les crâne soudés par la propagande des puissants. Ces tyrans le savent bien, ils ont l'or et le temps de leur côté. Ils seront les maîtres du monde, c'est certain... Ils n'ont aucun doute.

Contrairement à Jean-Luc Mélenchon, je suis dans l'opposition et le marécage où s'ébrouent les politiciens me soulève le cœur ! Ce sont des ennemis. Je n'ai aucun ami au parti "socialiste" ! Et n'en ai jamais eu. J'ai toujours été incompatible. Toute l'histoire de ce parti est une genouflexions ! Mitterrand compris. 

 

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  Voilà donc l'essentielle question, éminemment politique, la seule qui vaille d'être posée : est-ce qu'une humanité, même immature comme la nôtre, inculte et lâche, peut continuer à évoluer sans s'interroger sur son esclavage atavique ? 

Il est bien temps d'y réfléchir car la véritable volonté de ces dominateurs n'est déjà plus l'ilotisme, mais l'euthanasie. Ils rêvent du paradis sur terre, mais sans cette populace loto/P.M.U., alcoolique, ignorante et stupide, geignant sur son sort, la tête baissée ! La robotique arrive pépère sur ses jambes de fer, virant cet humain si pénible, à qui il faudrait encore parler, non mais ! Une fois les 99 % génocidés, plus de couche d'ozone et suffisamment de pétrole pour les jets des maîtres. Oh qu'il arrive enfin ce temps béni où la Terre sera un immense Rotary club, la Méditerranée une piscine et l'arctique un congélateur pour l'apéro ! Pendant que les androïdes, jamais fatigués, toujours contents, immortels, produiront les besoins de ces messieurs/dames. Pendant que nous pourrirons dans la fosse commune de l'histoire.

Et pendant ce temps-là, la populace bien programmée, enfin "seulement" 57 %, plébiscite l'horrible Walls ! Le processus est bien engagé, d'ailleurs la cerise sur le bandeau, ce serait que nous nous égorgions, entre frères et sœurs, entre esclaves... Elle est pas belle la manipulation ?... Ceux qui n'ont plus rien du tout contre ceux qui n'auront plus rien... Retour aux jeux du cirque, le pouce en bas. Tristes militants-gladiateurs du parti "socialiste" ! (je parle des encartés lobotomisés, sans autre réflexion que celles de leurs maîtres.)

Qu'est-ce que vous attendez encore ? Le temps politique ? Quel temps ! Encore un manif' ? Cela devient bouffon. Vous voulez poireauter encore longtemps, jusqu'à cette mort programmée ?... Je n'ai plus de minutes pour eux ! Ma fille, mes amis n'ont plus une journée à leur accorder. Les centaines de milliers d'ouvriers jetés à la misère non plus ! Capito ? Les dialogues sont interrompus. Que dis-je dialogue ! Que de longs monologues ! Ils n'ont jamais écouté quoi que ce fut, sauf quand ils eurent chaud aux miches...

Alors nous allons leur tisonner le fion à tous ces nuisibles de la vie ! Regarde bien ta Rolex, c'est l'heure de la révolte ! N'écoute plus tes chefs, ami ! Tes syndicats, tes partis te freinent. Il veulent le ou du pouvoir, évidement cela implique les compromis. 

Toi, tu ne veux pas le pouvoir, tu veux la justice et l'égalité et la liberté. Pour la fraternité, on comptera plus tard les vrais frères et sœurs... 

N'écoute plus tes chefs ! A chaque fois que nous avons gagné contre les forces obscures de l'argent, c'est lorsque, sans étendards,  spontanément nous avons conquis la rue et bloqué les productions de richesse.  Alors il est grand temps ! GREVE GENERALE ILLIMITEE  ! Paralysie de tous les grands axes routiers, de toutes les frontières, de tous les aéroports, de toutes les gares ! Organisons l'entr'aide ! Décrochons la Fraternité souillée des frontons ! Redonnons-lui vie ! En période extrême, il faut extrêmement partager ! Redonnons à la F'rance ses lumières qui ont quelquefois illuminé le monde ! Chassons cette honte que nous avons d'elle aujourd'hui représentée par des traîtres à l'humanité !

Alors bougeons-nous notre cul amaigri les esclaves, sinon, nous allons disparaître...

 

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14 juin 2012

L'ANNEE DES MEGAPHONES

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À chaque anniversaire, chaque fête, chaque dîner d'amoureux, offrez à vos amis, à vos femmes, à vos hommes, à vos enfants, offrez un mégaphone ! Pour toutes ces voix qui doivent enfin jaillir et révéler au monde entier leurs désirs de changer la vie, de la partager. Toutes ces voix trop longtemps méprisées, ces voix dénaturées, ces voix brisées de misère, ces voix tues, bâillonnées, avilies. Par les êtres qui gère nos destinées entre leurs votes, comme des patrons de casino toujours gagnant. Et l'horrible voix de tous ceux-là qui peut hurler encore et toujours, car rien n'a changé : 

"Je veux rendre toute puissante l'influence du clergé, parce que je compte sur lui pour propager cette bonne philosophie qui apprend à l'homme qu'il est ici-bas pour souffrir et non cette autre philosophie qui dit au contraire à l'homme : Jouis." (Thiers à la commission sur l'instruction primaire de 1849.) 

L'opposition appelait déjà la république de Thiers la nouvelle monarchie ou la république sans république...

Ces homoncules vivent dans leur musée Grévin, sous les perfusions du peuple qui les nourrit, qui les gavent pour leurs progénitures de cire à venir. 

Mais l'avenir ce sont nos voix enfin multipliées et surtout, ce sont des voix qui s'écoutent, qui s'entendent... 

Sachant qu'en France, il existe un bar par habitant - je plaisante -squattez-les donc, assiégez tous les mastroquets, caboulots, buvettes et cafés, envahissez-les de paroles, de musiques, de dessins ! Dans chacune de vos régions, de vos arrondissements, de vos faubourgs, investissez ces lieux réellement populaires, faîtes en vos quartiers généraux, vos cercles d'idées ! De rencontres trinquées en solitudes bues. On y vend l’ivresse et l’oubli, certes, mais aussi la joie des bonjours, des poignées de mains chaudes au cœur ou des baisers sonnant sur les joues. Tu pousses la porte et soudain, tu n’es plus le passant inconnu, tu refermes derrière toi l’indifférence de la rue pressée. Même aux pires moments d’histoire, la fraternité du zinc perdure. Surtout. Les révolutions ne se sont-elles pas toutes fomentées à l’arrière-salle des estaminets, avant de se hurler dans les tribunes, puis dans la rue avec la musique des fusils ?

Mais que ce passe-t-il depuis quelques lustres au royaume de la bière et de l’anisette ? Il grouille d’un monde qui n’avait pas forcement l’habitude de l’honorer. Et qui ne se torche pas systématiquement tous les soirs. Et qui n’est pas pathétiquement solitaire, désespéré. Et qui parfois même s’invente une histoire à plusieurs.

C’est la multitude des bars musicaux, sans prix d’entrée et souvent, sans majorations sur les verres. Même si beaucoup d’entre eux succombent aux fermetures administratives de la préfecture qui confond encore la musique avec le bruit... Des scènes improvisées qui ont déjà accueilli des centaines de groupes inconnus, plus en quête de public que de producteurs.

Ce sont les bistrots qui décident d’organiser des slam partie, ou des moments philosophiques, ou des vernissages. Et tout le monde s’y met. Parce que dans cet univers parallèle et neuf, le cynisme n’est plus de mise. Enfin, je me convaincs de le croire... Les tocards sont ceux qui ne font rien et non ceux qui osent, qui réactivent des passions tellement salopées, tellement trahies, par le fric et les dealers d’artistes. Comme la musique, comme le cinéma, comme la peinture. Comme l'écriture.

L’art, c’est les autres. C’est la communication, le moyen de faire le point, de montrer où l’on en est. Et si c’est partagé ? C’est l’échelle de l’humanité.

Cheveux longs romantiques ou grains de sel aux tempes, on s’échange de l’idée, on dénoue la vie sur la table entre les verres ruisselants et les cendriers pleins. On l’empoigne, avec ou sans dieux, mais fervents, car il y a urgence ! Parce que les débats dans le trou du cul noir de la télévision nous empestent l’âme. Nous voulons réellement savoir ce que nous pensons, ce que l’autre pense, ce qu’il est possible de faire entre nous, en dehors des marchands d’idées, des représentants de vie indigente, de ce vide visqueux que l’on fait bourdonner à nos oreilles. C’est une fronde de l’intelligence, de l’association. Depuis cinquante piges, le monde s’est fait traverser par un maximum de mouvements et de recherches, jusqu’au dégoût, jusqu’à la surdose du cynisme. Et le monde est toujours dans la merde. Et le monde a les boules d’attendre un quelconque messie de la voirie qui nettoierait le paysage, l’enluminerait soudain. Parce que le monde en est revenu et que nous détestons les gourous, les foules, les lâches, celles qui récupèrent, fanatisent, qui périmeraient même un yaourt du jour. Nous sortirons de la torpeur individualiste, je vous le dis ! Parce que ça non plus, ça ne marche pas. Ça ne marchera jamais. Un million de connards enfermés dans leur labyrinthe respectif, ça ne formera jamais une communauté. C’est juste un connard multiplié, et seul. Mais ça y est : on va vivre une époque épatante. Même les députés viennent flirter dans l’odeur des fumées, des alcools. Ils sentent bien qu’il se passe quelque chose en dehors d’eux, de leurs programmes, de leurs lois, de leur pouvoir. Et que c’est nombreux. Et qu’il y aurait peut-être même bien là des tas de voix à gagner… Mais heureusement, ces voix-là ne s’enferment pas dans une urne. Ce ne sont pas des voix tues. Ce sont des voix qui parlent entre elles. Qui parlent de ces murs qui s’allongent, nous entourent, s’élèvent inexorablement, au-dessus des citoyens et des citoyennes, ténèbrant pierre à pierre l’horizon. Jusqu’à la mort subite de ce nourrisson qu’est l’avenir. 

Oh, nous serons bien étonnés, oh la la. Bande de fiottes !

Une seule idée. Une seule volonté.

Nique le mur ! Nique le mur tu verras mieux. Tu verras bien ! Nique le mur t’auras des pierres. Et avec ces pierres, tu sculpteras tes visions neuves, tu graveras tes gravités, tu écriras ce que personne ne veut que tu écrives, tu pileras des pigments impossibles pour tes peintures, la peinture qu’ils croient remplacer par la numérisation tellement ils ont pixelisé Van Gogh, tellement fané la folie de son oreille, persuadés qu’ils sont que tout a été peint, que plus personne n’écrira, que plus personne ne peindra. Que cela ne sert à rien. Tellement ils étouffent et nient la moindre fleur nouvelle, impensable ; tellement ils méprisent cette modernité qui s’accouche dans les fureurs et douleurs sociales, modernité unique après que toutes les tables soient enfin rases. Modernité malsaine. Progrès inique. Tu as vu comment ils font ? Ils lancent une bouée de temps à autre. Pour continuer le grand calcul. Ils pêchent – c’est bien cette image – un ou deux talents du moment qui surnageaient, l’eau à mi bouche, et suce jusqu’aux étirements nauséeux leurs créations vivantes et fraîches.

Allez, Balançons nos volontés sur tous les murs ! Berlin, c’était du béton. Aujourd’hui, les murs sont bâtis avec l’asservissement des hommes, l’abandon de leur conscience à toutes les religions, spirituelles ou matérialistes. 

 La France est un pays qui se mange froid. 

A quelle plâtrée allons-nous attendre ?

 

 TOUS À NOS MÉGAPHONES !

TOUS À NOS VOIX !

FUSIONNONS NOS IDÉES 

COMME UN CHANT D'AMOUR ! 

 

Il y a actuellement un trop grand nombre de citoyens qui souffrent tandis que d’autres nagent dans l’opulence, dans l’abondance. Cet état de choses ne peut durer ; tous nous devons non seulement profiter du superflu des riches, mais encore nous procurer comme eux le nécessaire. 

(Ravachol)

      - Sorcières, Sorciers, écoutez-moi ! Sans recours magiques, notre rebelle et charmant petit monde risque de se recroqueviller, jusqu’à sa disparition définitive, entre ses propres cuisses comme un clitoris ou une bite anorexique.

      Absolument nous devons recharger nos flingues au beau temps, à l’iode, à l’air des montagnes, à l’eau des rivières, à la violence des pluies d’été soudaine, à la paresse totale. 

      Pour un peu, je vous aimerais.


FUME OREILLE

 

8 mai 2012

L'HUMAIN D'ABORD, MAIS PAS TOUS...

JE VOUS REGARDE

Ça y est ! Vous l'avez votre gauche. Une gauche, cependant, toujours un peu gauche avec sa gauche, n'est-ce pas ? Pour certain, cela ne semble pas vraiment naturel d'être gaucher ? Sur les photos, j'en imagine plus avec le fusil lacrymogène qu'avec la fichue rose. 

Mais non, je n'abuse pas du délit de faciès, non. Ce sont leurs paroles, des mots blessants, des sales lettres, des idées basses, des mots contrefaits qui ont façonné leurs traits, leurs tics, leurs inexpressions. Et leurs incohérences manipulatrices, leurs enjambées au gré des houles. 

Des mots que nous n'oublierons jamais. 

D'où notre difficulté à les croire sincères et toutes ces questions qui s'entrechoquent à nos bouches. 

 Par exemple, les militant(e)s de base du parti "socialiste" ressemblent-ils(elles) à leurs dirigeant(e)s, à leurs idéologues ? Valident-ils(elles) toutes leurs décisions ?  Ont-ils(elles) ressenti comme moi leur décadence, les détournements de leurs fondamentaux vers le psychotrope de l'argent et l'oubli des masses laborieusement productives. C'est à celles-là et à ceux-ci que je m'adresse. 

Sectatrices, sectateurs du parti "socialiste nouveau...

Voilà. Vous l'avez donc votre élu. De gauche. Tout mignon, tout rose, plein de bonnes volontés euphoriques d'après victoire. C'est parti pour une nouvelle royauté d'un lustre ! En dehors de tout contrôle, surtout du vôtre. Vous l'avez voulu ? Vous l'avez même trouvé "utile" dans l'incontournable vote que nous devions consacrer à n'importe quel prix. Surtout celui de renier nos convictions lorsqu'il s'agissait pour nous d'un autre choix pour l’humanité et non d’agrafer sur le mur vérolé du pouvoir et de sa 5è République un autre despote ! (C'est la fonction qui crée l'organe autocrate...)

Mais vous, ce fut "Touche pas à mon despote" ! Ah, vous êtes costaud(e)s pour vider les mots de leur sens et les détourner de leur vocation ! 

Vous avez préféré le pansement raisonnable, normal, conforme, calibré, alors que de toute évidence, il fallait commencer par en finir avec cette institution chancelante et rétrograde - qui permit tant d'excès au précédent roitelet... - face à la gravité de ce monde en guerre philosophique. Pour redonner à la population toute entière la parole qu'on lui tranche depuis toujours et qu'on s'apprête à lui arracher définitivement. Nous, nous avions des outils pour nous préserver, des solutions chiffrées, de nouvelles directions, des espoirs à portée de courage, le tout soutenu et nourri par un mouvement quasi spontané sans cesse grandissant, de gens pas forcement habitués aux politicardes caméléonesques. 

Etes-vous donc tellement apeurés ou enfumés que vous refuser de vous laisser porter par cette lancinante vibration de fraternité, de liberté, d'égalité ?

Le Front de Gauche est un enfant si jeune ! Vous l'avez balayé d'un revers de "vote utile" et de mépris ! Alors que vos chefs, se moquant officiellement de vous, reniant l'essence même de leur parti, prônaient la rigueur tranquille et salutaire, acceptant d'un coup toutes les politiques oligarchiques de l'Europe bankster ?... Vous aviez pourtant, au-delà de nos frontières, l'exemple catastrophique de ces choix à œillères ! Mais non ! Vous pensiez sans doute que le socialisme libéral français était bien meilleur que celui des autres ?... Je pouffe... Nous allions absoudre les banksters  et même pire, nous allions rembourser intégralement leurs addictions aux jeux de notre argent, bloquant entre autre chose les denrées essentielles, spéculant sur l'existence de chacun des vivants de notre Terre en les affamants. Bravo ! 

Le Socialisme Nouveau est arrivé !... Avec le Nouvel Ordre Mondial... Youpi !

Vous voulez bien vous révolter, mais polis, convenables, sans gros mots, entre gens de bonne éducation. Ah ! Suivre... suivre... sans réfléchir... Qu'il est doux de laisser faire... Mais Bordel, vous n'avez pas le droit à cette paresse-là ! Il y a des humains qui crèvent autour de vous, dans le métro, sur le palier d'en face, dans vos rues voisines !

Hé, détrompez-moi d'un doute... vous avez bien remarqué tout de même que votre parti avait effectué un vicieux virage vers le libéralisme ?... Cela ne vous a pas échappé ?... 

Peut-être que si, au fond. Vous avez tous rejoins T.I.N.A., sans le savoir, peu à peu, mine de rien, pas plus l'air... c'est plus simple... ils savent ce qu'ils font - ils sont "socialistes" - laissons nos chefs conduire... 

Vous, ce serait plutôt l'humain d'abord... mais pas tous... Je me trompe ? 

Jusqu'à nous insulter dans vos colonnes et vos forums pendant que nous démontions, front contre front, la mécanique fasciste qui ronronne dangereusement en France et dans toute l'Europe ! A ce juste combat, vous avez préféré nous nier en nous dénaturant vilement ! Cela dit, chapeau bas, vous avez réussi à rassembler tant de clones de l’ignorance, de la mauvaise foi, de la bêtise, de l’égoïsme cupide, et j’en laisse... Ah, que les toutous se font dessus et en oublient de se renifler leurs nauséabonds postérieurs...

Choquant, non ? Allez, soyez honnête ! Vous fûtent un tant soi peu réacs, n'est-il pas ? Vous pouvez tout nous avouer à présent qu'il est élu votre rejeton ? 

Mais quelque chose m'échappe ?... dîtes donc ?... vous les militant(e)s, vous êtes bien toujours socialistes, n'est-ce pas ? Comme nous, vous voulez en finir avec la monarchie représentative qui cache l'immense et si riche forêt de la démocratie directe ? Vous aviez l’occasion de balayer toute cette verroterie, cette pacotille présidentielle ! Et d’instaurer une 6è république où l’ensemble des Français ré écriraient leurs devoirs et leurs droits ! C’était cela le "changement maintenant", en effet. Excepté que pour nous, ce n’était pas qu’un slogan creux et sans racines. Nous menons une impitoyable guerre à l'exploitation ! Sur cela, avec nous, vous pouvez compter...

Et à présent, qu'allez-vous en faire de votre élu ? Car évidement, je ne veux pas croire que cela soit l'inverse... qu'il soit le Seul, avec sa Cour, à décider de toutes choses, à décider de VOUS, avec droit de qualité de VIE et de qualité de MORT ?... Comme le précédent... Non, pas dans un gouvernement de gauche ! 

Pourtant j'ai le sentiment que la partie est déjà jouée, vous ne trouvez pas ? A leur étrange façon de rassembler sans ouvrir, sans débat, sans négocier, refermés sur leurs certitudes. Je n'y aperçois aucune place pour ce fameux changement maintenant ? Quoique... Vous avez sans doute remarqué toutefois, comme tous, comme moi, tout au long de cette ridicule campagne, le glissement très progressif de vos chefs vers certaines propositions du Front de Gauche ?... Depuis plus d'un an, nous disions qu'il fallait ouvrir la BCE aux Etats ! Nous rencontrâmes un mur de mépris rigolard ! Evidement, ils avaient tous validé le traité de Lisbonne, puis le MES, c'est-à-dire une humanité sans autre âme que celle du profit gagné sur "l’autre". Aujourd'hui vos chefs ont retouché légèrement leur copie... Idem pour le SMIC, un jour augmenté de deux euros, un autre de quarante... Mon Diable ! Que ne mentirait-on pas pour accéder à la munificence du pouvoir !... 

Je me demande ce qui peut motiver de jeunes gens à militer pour un parti si défraîchi, si élimé, si périmé, aux structures archaïques, sans autres ambitions que le carriérisme à la progression pyramidale, qui propose des aspirines alors qu'il faudrait un hôpital pour guérir la vie ! Encore les vieux socialistes... cela peut se comprendre... ils ont leur rond de serviette et leur pantoufle dans les coursives du parti ! Faut pas trop bouger, ça dérange les anges du confort... Mais vous ? Les enviez-vous donc tant ? Cela ne bout-il pas dans vos veines ? La jeunesse rêve de justice... vous n'avez plus aucun songe ?

Hé, p'tit con de vingt piges ! Je t'ai vu comme libéré à la Bastille... Mais de quoi ?!... Tu t'en fous de ton ciel, de ta Terre, de tes fleurs, de ce que tu vas léguer ou pas à tes mômes ? Parce que ton parti, il n'a rien prévu, sauf des échanges de strapontins avec les verts girouettes... 

Nous, si. Le socle de notre programme est la planification écologique de tout le parcours productif. Il ne suffit pas de se déclarer de gauche, une petite rose à la main, encore faut-il se renseigner sur l'endroit qui l'affirme et se bat pour... soucieux de son environnement et souhaitant pour l’homme, la femme, les enfants, tout ce qui vit, le respect dû à la vie, à l’émancipation, à l’intelligence, à l’enseignement, à la culture, aux partages, à l’amour. Comment pouvez-vous, dit le bon sens, continuer à vivre heureux dans un océan de malheur ? Et surtout comment pouvez-vous le conforter avec votre parti devenu réactionnaire ? Comment peux-tu te sentir libéré ?... Vaste question. Je vous parlerai une autre fois de ces agents doubles du ps qui à longueur de blog ou de réseaux sociaux nous importunaient avec leur dialectique de supermarché... justifiant, mercantiles, leur soutien à leur maître... bien qu'ils partageaient nos idées à cent pour cent... Mon Diable !                               

Allez, à bientôt dans la société que nous allons construire malgré vous, malgré l’obscurantisme ambiant ! Nous n'en serons que plus radical... N'entendez-vous pas tous les peuples d'Europe se relever, bien décider de prendre à bras le corps leur destinée ?... Ne comptez surtout pas continuer à vous la couler douce... Vous avez sur le dos, en permanence, un jeune grand frère au Grand Front de Gauche qui ne vous lâchera pas d'une déviance...

 BANKSTER
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